Bonjour pouvez-vous m’aider s’il vous plaît je n’y arrive pas Dans cet extrait, repérez en les surlignant à l'aide de plusieurs couleurs les procédés d'amplific
Français
manonfichot
Question
Bonjour pouvez-vous m’aider s’il vous plaît je n’y arrive pas
Dans cet extrait, repérez en les surlignant à l'aide de plusieurs couleurs les procédés
d'amplification : hyperbole, superlatif absolu, répétition:
Il était une fois une veuve qui avait deux filles ; l'aînée lui ressemblait si fort et d'humeur et de
visage, que qui la voyait voyait la mère. Elles étaient toutes deux si désagréables et si orgueilleuses
qu'on ne pouvait vivre avec elles. La cadette, qui était le vrai portrait de son père pour la douceur et
pour l'honnêteté, était avec cela une des plus belles fille qu'on eût su voir. Comme on aime
naturellement son semblable, cette mère était folle de sa fille aînée et en même temps avait une
aversion effroyable pour la cadette. Elle la faisait manger à la cuisine et travailler sans cesse.
Dans cet extrait, repérez en les surlignant à l'aide de plusieurs couleurs les procédés
d'amplification : hyperbole, superlatif absolu, répétition:
Il était une fois une veuve qui avait deux filles ; l'aînée lui ressemblait si fort et d'humeur et de
visage, que qui la voyait voyait la mère. Elles étaient toutes deux si désagréables et si orgueilleuses
qu'on ne pouvait vivre avec elles. La cadette, qui était le vrai portrait de son père pour la douceur et
pour l'honnêteté, était avec cela une des plus belles fille qu'on eût su voir. Comme on aime
naturellement son semblable, cette mère était folle de sa fille aînée et en même temps avait une
aversion effroyable pour la cadette. Elle la faisait manger à la cuisine et travailler sans cesse.
1 Réponse
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1. Réponse niogret2m
Réponse : hyperboles, répétitions, superlatif absolu
Il était une fois une veuve qui avait deux filles ; l'aînée lui ressemblait si fort et d'humeur et de visage, que qui la voyait voyait la mère. Elles étaient toutes deux si désagréables et si orgueilleuses qu'on ne pouvait vivre avec elles. La cadette, qui était le vrai portrait de son père pour la douceur et pour l'honnêteté, était avec cela une des plus belles fille qu'on eût su voir (hyperbole) . Comme on aime naturellement son semblable, cette mère était folle de sa fille aînée(hyperbole), et en même temps avait une aversion effroyable (hyperbole) pour la cadette. Elle la faisait manger à la cuisine et travailler sans cesse.